Date de sortie : 14 Mars 2001
Réalisé par José Luis Cuerda
Avec Fernando Fernan Gomez, Manuel Lozano Obispo, Uxia Blanco
Film espagnol.
Durée : 1h 35min.
Année de production : 1999
Titre original : La Lengua de las mariposas
Casting complet
Réalisation
Réalisateur : José Luis Cuerda
Acteur(s)
– lozano obispo : Fernando Fernan Gomez
– Moncho :Manuel Lozano Obispo
– Rosa : Uxia Blanco
– Ramon Gonzalo : Martin Uriarte
– Andres : Alexis de Los Santos
– O’ Lis : Guillermo Toledo
– D. Avelino : Jesus Castejon
– Carmina : Elena Mar Fernandez
Scénario, production
Scénariste :Rafael Azcona, Manuel Rivas
Production : Sogetel S.A. Espagne.Los producciones del Escorpion, Espagne
Distribution
– Gaumont Buena Vista International (GBVI), France
Secrets de tournage
Jose Luis Cuerda et Amenabar
Jose Luis Cuerda a produit les deux premiers films d’Amenabar, et produira son prochaine réalisation, The Others, avec Nicole Kidman et Elaine Cassidy.
Une production Sogetel
Maison de production espagnole dirigée par Fernando Bovairo, Sogetel est à l’origine de quelques-uns des films espagnols les plus enthousiasmants de ces dernières années. Elle peut s’enorgueillir d’avoir produit notamment Julio Medem (Vacas, Tierra), Fernando Trueba (Two much), Gracia Querejeta (Quand tu me reviendras), et surtout Alejandro Amenabar (Ouvre les yeux).
Sur des accords d’Amenabar
Alejandro Amenabar a signé la bande originale de La Langue des papillons. Le réalisateur de Tesis et de Ouvre les yeux avait auparavant composé les partitions de ses deux premiers longs métrages, ainsi que celle de Jeu de rôles de Mateo Gil.
Adapté de trois nouvelles
Avec La Langue des papillons, Jose Luis Cuerda porte à l’écran trois nouvelles issues d’un recueil de Manuel Rivas, « Que, me quieres, amor ? ».
Critiques Presse
Le Figaroscope : Brigitte Baudin
Un film magnifique (...) magistralement interprété par le grand acteur Fernando Fernan Gomez et par le tout jeune et spontané Manuel Lozano (...)
MCinéma.com- R. Brio
(...) La Langue des papillons pourrait-il paraître, d’un premier abord, un long métrage plutôt naïf et innocent. Il recèle en vérité une violence insoupçonnée et assez inattendue (...)
Le Nouvel Observateur - Alain Riou
(...) une belle fable poétique, crue. Et cruelle.
L’Express - Stéphane Brisset
José Luis Cuerda traite son sujet avec honnêteté et les comédiens (dont le vétéran Fernando Fernan Gomez, excellent) sont d’une justesse impeccable. Autant de qualités qui suscitent chez le spectateur une émotion sincère.
Positif - Paul Louis Thirard
Film doux amer qui réussit à paraître nostalgique, même si les auteurs sont trop jeunes pour avoir vécu cela...
Chronic’art.com - Nathalie Piernaz
(...) un film sur une époque bénie qui oscille entre douce nostalgie et sentimentalisme pour finalement tomber dans la plus grande des mièvreries.
Studio Magazine - Thierry Cheze
(...) trop de scènes répétitives et larmoyantes limitent le propos à une jolie bluette.
Aden - Philippe Piazzo
(...) une chronique paysanne bucolique, idéale à l’heure de la sieste, agréable pour peu qu’on ne veuille pas être réveillé (...)
Première - Christophe Narbonne
En matière de film initiatique, ce n’est peut-être pas ce qui se fait de plus original, mais la joliesse de la mise en scène (en Scope et en couleurs chaudes) donne de la consistance à la mélancolie ambiante.
Télérama - Frédéric Strauss
(...) le film étire un propos plutôt mince sur une vie qui s’ouvre, mais la mise en scène le charge déjà de lourde nostalgie.
Le Parisien - n.c.
(...) une suite de scènes d’une incroyable platitude.
Ciné Live - Philippe Paumier
Le gamin a beau être craquant-boudeur (...) le charme n’opère pas. Sans aller jusqu’à préparer le goudron et les plumes, on peut juste déplorer la propreté désarmante d’une œuvrette cent fois contée.
Repérages - Bertrand Campari
Entre parcours initiatique et leçon d’humanisme, cette adaptation d’un classique de la littérature espagnole soufre à la fois du didactisme de son ton et de l’académisme de sa forme, qui en font le parfait objet d’une séance scolaire.
Urbuz - La Rédaction
(...) malgré un scénario de Rafael Azcona (...), tiré d’un roman de Manuel Rivas. La République, symbolisée par un village idyllique, y est consacrée d’emblée comme paradis perdu, évacuant ainsi toute la complexité de la période.
Fluctuat.net - Anne-Laure Bell
Dans une esthétique digne des pires téléfilms, il se complait dans un trop long développement fade et inutile. Si fastidieux qu’il devient trop facilement attaquable.