Alex et la maison hantée

, par  Kevin Pacifico , popularité : 16%

Nouvelle fantastique. Alex habitait une jolie maison...

Alex et la maison hantée

Alex habitait une jolie maison. Il est plutôt grand, de corpulence moyenne avec de grands yeux verts et un jeans bleu délavé avec une veste qui à première vue a l’air bien chaude. Il faut préciser que dans le nord de la France, à Paris, en plein mois de décembre, il fait très froid. Alex a 14 ans. Il est toujours avec son meilleur ami Jordane. La cour de récrée est gelée. Alex est Jordane mijotent quelque chose.

- Demain je vais dans la maison hantée. Je prendrai mon camescope. Si tu veux venir tu peux mais je ne t’oblige pas, dit Alex.

- Je t’accompagne, lui répondit Jordane d’une voie mal assurée. Le reste de la journée se passa comme d’habitude. Le lendemain matin, Alex n’avait pas cours car on était samedi. Il s’habilla, déjeuna et à 9h32 il sortit armé de son camescope. Il traversa la rue. Jordane l’attendait. Ils grimpèrent les marches de l’imposante maison. Les marches de bois grincées. Arrivée en haut, ils voulurent ouvrir les portes mais avant de les avoir touchées, elles s’ouvrirent. Surpris, les deux amis reculèrent.Vu d’ici la maison faisait encore plus peur. Il manquait la plupart des volets, les murs de briques et de planches menaçait de s’effondrer. Les vitres etaient cassées. L’énorme toit pointu, avec des tuiles noires donné la chair de poule. Alex et Jordane rentrèrent dans la maison. Ils n’avaient pas fait 20 mètres que les portes de la maison se refermèrent. Jordane courut essayé d’ouvrir la porte, mais elle ne bougea pas d’un pouce.

- On est enfermé dans cette maison. Je vais casser une de ces planches pour sortir.

-Non ! Arrête tu risque de faire écrouler la maison. On va chercher une autre issue. Ils pénétrèrent dans une pièce. C’était une chambre. Alex alluma le camescope. Il avança, prudemment, car il avait peur. Il fouilla toute la pièce, mais rien. Il pénétra alors dans la seconde pièce, qui était une cuisine. Ils fouillèrent les placards mais rien. Ils s’apprêtaient à sortir de cette pièce quand tout à coup, ils le virent jaillir devant eux, un couteau à la main.

Il était d’un blanc terrifiant, avec des yeux noirs à vous glacer le sang. Le couteau qu’il tenait à la main était très long et la lame semblait aiguisée comme un rasoir. Il se rapprochait inexorablement tandis que Alex et Jordane eux étaient pétrifiés par la peur. Soudain, Alex reprit ses esprits et, entraînant Jordane avec lui, courut vers la porte. Il les poursuivit un moment puis, tout à coup, il disparut. Le couteau percuta le sol dans un bruit sec.

-On a réussit ! Maintenant il faut sortir d’ici.
-Réussit quoi ? S’étonna Jordane, dont la pâleur de sa tête faisait peur.

-Je l’ai filmé Jordane ! Je l’ai eu !

-C’est bon alors ? On peut sortir d’ici ? Cet endroit me donne la chair de poule.

-Il faut trouver une fenêtre.
La troisième pièce visitée fut la bonne. La pièce avait deux fenêtres. L’une ouverte l’autre fermée avec des planches. Par celle ouverte on voyait le jardin, si on pouvait appeler cela ainsi. L’herbe, enfin ce qu’il en restait, était noire. Le seul est unique arbre du jardin était noir lui aussi.

-Bizarre, dit Alex.

-Bizarre ou pas moi j’y vais ! Et il s’élança.
A peine avait-il sortit sa tête que des piques sortir de la fenêtre et empalèrent Jordane. Sa tête tomba dans l’herbe. Aussitôt l’arbre prit la tête de Jordane et se mit à la lui presser pour que son sang coule sur lui. Plus le sang coulé plus l’arbre reprenait des couleurs normales. Alex ne put en voir d’avantage et il fit demi-tour en larmes.

-C...Comment je vais sortir d’ici ?
Il resta la à pleurer pendant vingt bonnes minutes puis, retrouvant son calme, il chercha une issue. Ouvrant la première porte qu’il vit, il se retrouva dans le salon. Il vit une fenêtre et juste à coté une porte. Derrière la fenêtre on voyait le coté du jardin. Alex l’avait repéré en entrant. Il savait que derrière cette porte c’était la liberté ! Il voulut ci précipiter mais apparut devant lui l’être blanc avec le couteau ! Alex d’un reflexe surprenant évita le couteau qui lui entailla le bras. Il courut sur le canapé mais, chose extraordinaire, l’être lui, le traversa. Profitant qu’il ne soit plus près de la porte, Alex courut jusqu’à elle. L’être le pourchassa. Alex ne l’avait pas vu et à peine eut-il entrebâillé la porte que le couteau se planta dans son dos. Alex tituba et tomba dans la maison, une expression de surprise sur son visage.

Quelques semaines plus tard, la vieille maison fut détruite car elle menaçait de s’effondrer. Trois ouvriers rentrèrent dans la maison pour poser des charges explosives car la rue étant trop étroite le bulldozer ne pouvait passer. L’un des trois ramena un caméscope en sortant de la maison. Les ouvriers revenant sur leur lieu de travail visionnèrent la cassette. Un quart d’heure plus tard une voiture de police arrivait.

-Alors où est cette cassette ?
-Elle est ici monsieur l’agent. Vous devriez la visionner.
L’agent introduisit la bande vidéo dans le magnétoscope est regarda. Ce qu’il vit et entendit le fit frémir ; il vit Alex et Jordane courir est lorsqu’il se furent arrêter Alex dit qu’il avaient réussits. Il vit ensuite Jordane se faire décapiter car le caméscope n’était pas éteint. Les ouvriers durent mettre le magnétoscope sur pause pendant que l’agent se diriger en courant vers les toilettes. Une fois revenu la lecture du film reprit. Il vit Alex courir vers la porte est d’un seul coup tombé, un couteau dans le dos.

-C’est un meurtre ! dit un ouvrier.
-Non c’est impossible répondit l’agent il n’y avait personne derrière lui, nous l’avons tous vu, ou plutôt pas vu

-Mais le couteau ne c’est tout de même pas planté tout seul !!! dit un autre gars du chantier.

-Il faut croire que si, répondit l’agent.

-C’est à ce moment que je prit la parole pour la première fois : « C’est le fantôme » dit-je. Tout le monde se tourna vers moi. La pâleur de leurs visages me dit que tout le monde le pensé mais personne ne voulez l’espérer.

Quelques jours plus tard, l’affaire fut classée, mais au fond de moi je savais la vérité et je n’était pas le seul....

Kevin pacifico

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