Sur cette photographie, on voit un tunnel vertical, un gouffre, me semble-t-il. Ce gouffre m’a l’air très profond, tout en haut, on y voit une lumière ce qui montre la profondeur car on ne voit pas la lumière du jour à l’extrémité. Le photographe est au fond du gouffre, on dirait, ce qui encore une fois nous montre sa profondeur. Le photographe veut nous montrer aussi à quel point la nature est puissante, à quel point elle peut faire des choses extraordinaires. Parce que ce gouffre n’a pas était fait par l’homme, c’est la nature. On le voit grâce au trait plus ou moins épais et plus ou moins foncé sur la paroi et aussi on voit qu’elle est lisse, ce qui signifie qui a eu de l’eau dans cet endroit autrefois et que c’est l’érosion de l’eau qui a créé ce gouffre. Ce dernier est, certes profond mais aussi très épais. Ce gouffre me fait penser au « Voyage au centre de la Terre » de Jules Vernes, quand les personnages remontent à la surface de la Terre par le cratère d’un volcan. On y voit aussi une corde où des personnes avec des lumières y sont accrochées. Ces personnes sont des petits points dans ce trou, comme pour encore une fois rappeler la grandeur du gouffre. Ces dernières sont sûrement des spéléologues.
Ce gouffre géant, immense n’a pas pu être fait par l’homme, l’homme n’aurait pas pu faire une telle épaisseur.
Donc ce photographe a pris cette photo pour montrer que la nature surpasse l’homme, qu’elle est plus forte que lui. La photographie a bien atteint son objectif.
J’ai choisi cette photographie parce qu’elle ne montre pas la guerre ou les animaux maltraités, car l’actualité ce n’est pas que ça, il y a des choses plus joyeuses comme des découvertes que les médias ne nous font pas forcément connaître, ils préfèrent nous montrer le côté obscur, un monde sombre.
Photo de L’exposition "A Wild Life" de Michael Nichols