Visa 2015

, par  Pascale Miel , popularité : 4%

Dans le cadre de notre travail sur l’éducation à l’image, le lundi 14 septembre, nous nous sommes rendus à l’exposition de photojournalisme "Visa pour l’image" à Perpignan. Nous avons pu travailler sur trois expositions qui nous ont fait voyager.

Fleuve Congo, reportage au cœur d’une légende de Pascal Maitre.

Aujourd’hui, près de 30 millions de personnes vivent au bord du fleuve. Il constitue avec ses affluents l’unique voie de communication dans le bassin du Congo. Cette artère vitale a un rôle social et économique essentiel. Pour se déplacer, la plupart des habitants de la région n’ont d’autre choix que d’entreprendre un très long voyage, de 5 semaines à 7 mois, sur une des barques chargées de marchandises naviguant sur le fleuve.
C’est un voyage extrêmement pénible et dangereux. Lors de différents accidents et naufrages, 6000 personnes ont trouvé la mort sur le fleuve Congo et sa voie navigable.

Les déesses vivantes du Népal de Stéphanie Sinclair

Dans la vallée de Katmandou, des fillettes newaris prépubères sont vénérées comme des déesses. Ce sont les Kumaris, à qui l’on prête des pouvoirs tels que la capacité à prédire l’avenir, guérir les malades, exaucer les souhaits et assurer protection et prospérité. Elles relient la terre au divin et ont de nombreux adorateurs.
Ce reportage photographique nous permet de pénétrer dans l’univers fermé de ces déesses vivantes.

Pérou, Vallée sacré de Juan Manuel Castro Prieto.

Dans cette exposition, Juan Manuel Castro Prieto nous emmène sur les pas du grand photographe Martin Chambi qu’il admire profondément. Équipé d’une chambre grand format, il explore les lieux que le maître a photographiés. Il suit ainsi ses traces, cherchant à comprendre comment sa fascination pour l’univers andin a influencé son œuvre et sa vie.

(Source : livret de présentation du festival).

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