Les deux fils d’Ali

, par  Elisa Calvet , popularité : 5%

Les deux fils d’Ali

Sire, désirez-vous que je vous raconte l’histoire du premier propriétaire du chameau d’or. Le sultan, très curieux accorda son autorisation sens se faire prié. Alors, Shéhérazade commença son histoire en ces termes.

Ali était le premier propriétaire du chameau d’or. Après l’avoir vendu il s’était mi au commerce du tapis et avait amassé une somme conséquente d’argent. Il avait également deux fils qui étaient jumeaux, l’un s’appelait Rachid et l’autre Haroun. La petite famille vécut dans le bonheur jusqu’à la 17ème année des deux fils, malheureusement le Ali fut attint par une maladie inconnu. Désespéré ils virent venir tout les médecins de la ville, alors pendant trois jours ces hommes défilèrent mais aucun ne connaissez le remède de cette maladie. La famille du malade comment a perdre espoir, d’ôtent plus que il me resté plus grand monde qui patienté pour attendre leur tour. Mais quant le dernier docteur eu finit sa consultation il alla voir la femme et les deux fils d’Ali et leur dit ceci.

Ecoutez moi, il existe un moyen de guérir cet homme. La solution et une fleur, une fleur tellement rare quelle ne porte pas de nom.

Où trouve ton cette plante ? demanda Rachid impatient.

Doucement jeune homme ! répondit le médecin. Elle se trouve loin très loin là haut dans les montagnes sur le plus haut tic du Zagros. Puis il sortie de sa poche une grande feuille de papier et poursuivit. Voici une carte qui vous permettra de retrouvé la plante sens nom. C’est alors qu’Haroun dit :

Bien, puis qu’il en est ainsi je partirai et je ne reviendrai que quant j’aurai retrouvé cette fameuse plante. Et Rachid poursuivit.

Je me joins a toi mon frère, nous ferons le voyage assemble. Son frère approuva d’un signe de tête. Joignent l’action à la parole ils partirent tout deux le lendemain matin avec une escorte de dix homme et se mirent en route. Mais avent de partir le médecin leur avait dit ceci.

N’oublier pas que si vous n’êtes pas revenu dans huit lune votre père mourra.

Cela faisait un mois que la petite troupe parcourait l’empire en direction des montagnes et il comment à touchait au but. Il était en trin de traversé un terrien assez escarpé quant ils se firent attaqué par des bandits de grand chemin. Tous les hommes se firent massacré sauf Haroun et Rachid et ils se retrouvèrent bientôt tout deux seul au milieu de nul part. Ils marchèrent longtemps jusqu’au moment ou le chemin se sépara en deux partie une qui allé vers les montagnes et l’autre vers les plaine et les deux frères commencèrent à se disputé sur la direction à prendre.

Il faut passer les montagnes car la fleur se trouve au sommet de l’une d’entre elle. Disait Rachid.

Non, c’est bien plus rapide de remonté la vallée et une foi arrivé au pied de cette montagne il nous sufi de monter au sommet. Contredisait Haroun.

N’arrivent pas à se mètre d’accord chaque des deux frères prit le chemin qui leur paressé le mieux. Rachid marchait depuis un bon moment déjà quant il entendit des bruits de luttes derrière un roché, il alla voir ce qu’il se passé et la il vit un lion se débattent sous plusieurs gros rochés qui avait du lui tombé dessus sens qu’il ne s’en rende conte. Alors le jeune homme prit son sabre et s’en servit de levier pour dégager le lion des pierres, quand il eut terminé le lion qui parlé le langage des hommes le remercia et lui proposa de le mené jusqu’à son but car il connaissait le chemin. Rachid accepta volontiers et ils prirent la route ensemble cote à cote. De son côté Haroun avait croisé le chemin d’un oiseau immense et très coloré blaisé qu’il avait guérie en lui faisant un bandage et en lui donnant un peu du médicament qu’il porte toujours avec lui. Très reconnaissant de cela l’animal avait décidait d’accompagner lui aussi le jeune homme dans sa quête.

Schéhérazade coupa son histoire et dit en s’adressent au sultan des indes.

Sire le jour se lève je ne peux donc continuer, mais si vous le souhaité il m’est possible de continuer la nuit prochaine. Chariar entrainé par l’histoire accepta sens aucune hésitation et elle put finir le conte la nuit suivant.

A partir de ce moment les deux frères suivirent un destin ape pré similaires ils franchirent tout deux des obstacles toujours aidé de leur animaux respectif. Et c’est après de long effort qu’ils se retrouvèrent au sommet du Zagros ou il y avait un petit temple de pierres. D’abord ils furent surprit de se voir l’un et l’autre après t’en de temps seul et ils finirent par ce réconcilier tant qu’ils étaient heureux de se retrouvé. Ensuite ils entrèrent dans le temple, récupérèrent la fleur sens nom puis ils montèrent tout les deux sur le dos du magnifique oiseau qui les ramena cher eu. Quant ils furent cher eux ils remercièrent l’animal pour le cou de main et ils se hâtèrent de rentré à l’intérieur de la maison, mais quant ils franchirent le pat de la porte que ne fut pas leur désespoir quand ils apprirent par leur mère que le délai était passé et que le père était mort. C’est à partir de ce triste jour qu’ils décidèrent de partir rejoindre leurs compagnons chacun de son côté l’un dans la plaine et l’autre dans les montagnes et se vouent l’un à l’autre une haine éternelle que ni le temps ni la solitude ne parviendrait à effacé convaincu chacun des deux que l’autre était la cause de la mort de leur père. Une haine immortelle qui subsiste encore aujourd’hui et qui se perpétuera toujours dans le futur, tel est la sombre histoire des deux fils d’Ali. Histoire qui curieusement était la préféré de la fille du sultan, et permettez sire que je vous raconte la curieux histoire de cette princesse.

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