Dénouement : Rodrigue découvre l’horrible vérité, puis comprend + générique de fin
Les grans-parents qui viennent d’accueillir Nuira et son bébé devant la maison la font entrer dans la maison et appellent Diego.
Celui-ci est totalement surpris, abasourdi par la situation et oscille entre la joie de retrouver sa mère et la haine. Il refuse cet enfant, mais la mère trouve les mots, les mêmes mots que Maria : ceux qu’ils n’avaient pas voulu entendre...
Rodrigue et Nuria toujours assis sur les deux chaises, côte à côte, le jeune garçon est très crispés et la jeune femme très bouleversé. Rodrigue se lève très vite et se met à crier.
– Nous devrons haïr ce bébé (avec rage)
Nuria regarde son fils avec désespoir.
– Mon chéri après m’être haïe, après avoir haï cet enfant, j’ai compris que ce n’était pas de sa faute, ta demi-sœur ne dépend pas des actes de son père (dit elle avec peine et avec force) .
Diego reste figé quelques instants, puis plus énervé que jamais , il lui crie (avec méchanceté)
– Dans ce cas je détesterai cette chose, et je te détesterai toi
Nuria avec tristesse
– Que puis-je faire pour soulager ta peine, Diego ?
Diego silence obstiné
Elle explique avec calme et douceur.
– Tu n’as pas a être jaloux de cette enfant, je t’aime , je t’aimerai toujours, il faut juste que tu lui fasses une petite place dans ton cœur .
Diego (avec dureté et avec les yeux remplis de larme)
– Tu aurais du mourir à la place de papa ...
Nuria est desespérée (elle se rappelle de la mort de Joan), elle faisa un geste rapide pour lui mettre une giffle , mes arrivé à sa joue elle ralentit le geste, de la paume de sa main elle lui toucha la joue et lui dit avec force et courage (en pleurant) :
– Rodrigue comment peux tu me dire ça , à moi ta mère , je me suis occupé de toi avec amour depuis que tu es né et tu me jette à la figure que tu voudrais que je sois morte.
Rodrigue
– ... (chamboulé les larmes lui viennent)
Nuria avec force, courage , larmes :
– Sais tu quel horreur j’ai vécu à la guerre, j’espérais vivre que pour toi pour te revoir , pour te serrer dans mes bras et toi tu voudrais que je sois ...
Diego :
– ... (il pleure il a honte d’avoir dit cela à sa mère)
Nuria essaye de lui expliquer avec calme pourquoi il faut qu’il apprécie Maria :
– ... tu sais tu es mon fils, celui a qui j’aurais porté toujours mon amour sans hésitation tandis que Maria malgré que se ne soit pas sa faute quand je la regarderai je verrais le visage de Carlos Ruiz , l’homme qui à tuer ton père et puis qui ma violé ...mais ce n’est pas de la faute de Maria elle n’y est pour rien , ...
Diego, l’air désolé et il s’est calmé il est moins énervé , mais il pleure :
– Je suis désolé , de t’avoir dit que tu aurais du mourir à la place de papa, mais tu ces ...
Nuria compréhensive prit son doigt et le posa sur sa bouche (nuria)
et lui dit (avec la peine de voir son fils pleurer)
– Chut ... ne t’inquiète pas je sais que tu ne le pensais pas .
Diego calme s’adressa a sa mère :
– Je ne te promet pas de l’aimer , mais je ne lui ferais jamais aucun mal , je fais sa pour toi , parce que tu es ma mère et que quelqu’un que je n’oublierais jamais m’avais dit :
– Diego, je ne dépend pas des actes de mon père.
Nuria le regarda avec amour et pour la première fois sans pleurer.
– Je ne te demande pas de l’aimer je ces que sa te sera impossible et très dur , mes si tu fais ce que tu viens te dire sa sera parfait...
La mère et le fils se regarde avec regard complice et comique. Cri de bébé.
Mercedes arrive et dit à Nuria que le bébé s’est remis à pleurer
– Nuria , le bébé s’est remis à pleurer.
Nuria la regarde puis elle lui répond avec attention :
– Attend cinq minutes j’arrive ...
Nuria regarde son fils et lui dit trés clairement :
– Merci, sache que je t’aime et que je t’aimerais toujours.
Diego avec gentillesse et tolérance :
– Moi aussi, maman ...
Nùria quitte la salle en adressant un petit sourire à son fils .
Diego part dans une autre sale (autres directions).
Musique
Musica clasica No05 - Isaac Albeniz - Asturias (6.05 ...)
Générique de fin
Pendant que défile le texte, les différentes photos de Maria se consument, mélangées à celle de la guerre civile.